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OAV 6 - "Le Pirate de l'Espace" : Devant la capacité d'HARLOCK à se sortir de toutes les situations, WOTAN ordonne aux deux Géants du RISENHEIM de le détruire. Mais FASOLT et FAFNIR sont tous deux rétissants : MIIME et surtout FREIJA sont à bord de l'ARCADIA et les perdre serait perdre les joueuses d'Orgue. Mais WOTAN est intraitable : il faut montrer à ALBERICH la puissance du WALHALLA quelqu'en soit le prix. Mais leur amour pour FREIJA est le plus fort, ils ne pourront lui faire du mal.
FASOLT et FAFNIR prennent alors contact avec HARLOCK. Ils n'ont pas l'intention de livrer leur Forteresse à WOTAN car il a osé trahir la personne pour laquelle leur coeur bat. Il a ordonné de la détruire avec la Forteresse. Mais HARLOCK les ramène à la raison. S'ils ne livrent pas la Forteresse, l'Univers ainsi que tous les êtres vivants qui le compose seront plongés dans le Néant. Seraient-ils assez fous pour laisser faire une telle chose ?
Alors que WOTAN réussit enfin à rétablir la liaison avec les deux Géants du RISENHEIM, le voilà nez à nez avec ces étranges créatures qu'on appelle "humains". Qui sont donc ces vils créatures pour oser de tels actes sacrilèges ? Un simple Pirate nommé HARLOCK et qui va récupérer l'Anneau Maudit pour la sauvegarde de l'Univers et non pas des faux DIEUX du WALHALLA.
Pendant ce temps, ALBERICH a atteint le WALHALLA et commence son oeuvre de destruction. Malgré ses efforts, la flotte des DIEUX reste impuissante devant elle. Après la requête de MIIME à son frère de rendre l'OR, l'ARCADIA décide alors d'engager le combat. Profitant de cet instant d'inattention, la Forteresse des Géants enferme les deux vaisseaux dans son coeur. Là , l'Anneau y perd son pouvoir. Il ne reste plus à HARLOCK qu'à récuperer l'Anneau d'OR pour le donner aux trois Fées du RHEIN.
Mais en explosant la Forteresse pour libérer l'ARCADIA, les Géants du RISENHEIM ont libéré dans le Cosmos le sang du Dragon qui en constituait le coeur. Chaque planète atteint par ce sang connaîtra le réveil des esprits et des monstres. Ce n'est pas la fin, ce n'est que le commencement...
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